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Marie Nimier. Absence et perte

nimierLes 7 et 8 juillet prochains se tiendra à l’University of Kent (4 rue de Chevreuse, à Paris) un colloque sur l’œuvre de Marie Nimier, organisé par Ana de Medeiros et Carine Fréville. Pour découvrir le programme (qui s’annonce passionnant), cliquez [ici]. Un entretien avec l’auteure est prévue le deuxième jour à 14h30.

L’œuvre littéraire de Marie Nimier comprend à ce jour plus de vingt volumes. Elle se compose d’expérimentations dans les domaines de la fiction, de l’autofiction, de la littérature pour la jeunesse, du théâtre et des paroles de chansons, et a reçu plusieurs prix prestigieux, tel le Prix Médicis en 2004 pour La Reine du silence. Son texte le plus récent, Je suis un homme, a été extrêmement bien accueilli par la critique et largement commenté. Il a donné lieu à un débat particulièrement animé dans l’Hexagone au sujet de son exploration du genre et de la sexualité. Toutefois, il continue la réflexion de longue date de l’auteure sur les thèmes intrinsèquement liés de l’absence et de la perte.

Marie Nimier a écrit une douzaine de romans publiés chez Gallimard et largement traduits dans le monde entier, dont Sirène en 1985 (couronné par l’Académie française et la Société des Gens de Lettres), puis La Girafe, Anatomie d’un chœur, L’Hypnotisme à la portée de tous, La Caresse, Celui qui court derrière l’oiseau, Domino (prix Printemps du roman), La Nouvelle pornographie, La Reine du Silence (Prix Médicis 2004), Les Inséparables (Prix Georges Brassens et Prix des Lycéens d’Evreux) et Photo-Photo. Son dernier romanJe suis un homme, est sorti en janvier 2013, toujours aux éditions Gallimard.

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