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« Créer les Éditions Nomades, c’était un défi personnel » : rencontre avec Florie Bodin

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Les Éditions Nomades, créées par Florie Bodin et Lucille Pachot, publient des guides de voyage « faits par des voyageurs pour des voyageurs ». Très attachées à l’image et à l’aspect esthétique, elles proposent également des albums jeunesse, des carnets de voyage ainsi que des livres et tirages d’art.

Les Éditions Nomades ont fêté il y a peu leurs trois ans d’existence. L’occasion de revenir avec l’une des fondatrices sur le cheminement de cette petite maison qui vous emmène loin !

Vous avez créé votre maison d’édition dès la fin de vos études, à la suite d’un master professionnel. Pourquoi ce choix ?

Tout d’abord, par envie d’entreprenariat. Mais les circonstances ont aussi beaucoup joué. J’ai suivi ma formation en alternance. À la fin de mon contrat d’apprentissage, la maison d’édition pour laquelle je travaillais a été mise en vente et délocalisée à Clermont-Ferrand. Il n’a donc pas été possible pour moi de rester dans cette structure. C’est toujours un peu frustrant : j’avais la sensation d’avoir vraiment créé mon poste et développé des compétences me permettant d’aller plus loin.

À ce moment-là, je connaissais déjà Lucille. Dans le cadre de notre master, nous avions évolué ensemble sur des projets et notre collaboration fonctionnait bien. Au détour d’une discussion, nous avons évoqué notre envie d’entreprendre, au départ plutôt sur un mode associatif pour essayer de mettre à profit nos compétences. Mais le projet a rapidement pris une plus grande ampleur, nous voulions y mettre plus de sérieux et de cadre. Nous avons donc décidé de monter une société et de nous donner les moyens pour que ça marche. Nous avions envie de voir jusqu’où nous pouvions aller. C’était aussi un défi personnel.

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Souvenirs du Japon…

Lorsque je me suis rendue au Japon, je me suis tout de suite sentie chez moi. Peut-être le fait de croiser régulièrement quelques mots de français sur les vitrines des magasins y était-il pour quelque chose… Ou peut-être au contraire, les touches de français croisées au Japon figuraient-elles parmi ce qu’il y avait de plus dépaysant ?

Un magasin de vélos à Tokyo avec une vitrine tout en français…

« Sortez et roulez comme le vent de mai ! »

« Entrée très libre »

Et pour finir, devant les toilettes du Tokyo Sea Life Park, un plan qui se passe de commentaires…

Pour découvrir à quel point les Japonais aiment la langue française, même s’ils ne la maîtrisent pas toujours parfaitement, rendez-vous sur le site du Franponais !

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